« Les phares », Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1857 . Diaporama réalisé par la classe de 1TC3 - Les Fontenelles. Lycée des métiers de l'Energie et de l'Efficacité Energétique.

Dans le Salon de 1846, Baudelaire parle en ces termes de la critique :
un beau tableau étant la nature réfléchie par un artiste, — [la meilleure critique est] celle qui sera ce tableau réfléchi par un esprit intelligent et sensible. Ainsi le meilleur compte rendu d’un tableau pourra être un sonnet ou une élégie.

Dans « Les phares », de Rubens à Delacroix en passant par Rembrandt ou Goya, Baudelaire offre dans chaque strophe un équivalent poétique de l’univers d’un artiste, avant d’unir la diversité de ces démarches dans une quête de sens propre à l’humanité.

Chaque strophe de ce poème a donc été confiée à un groupe d’élèves.
Ces derniers ont eu à se documenter sur l’artiste évoqué pour rédiger à son propos une biographie succincte et sélectionner quelques tableaux révélateurs de son œuvre. La mise en voix de la strophe leur a permis de s’entraîner à la lecture d’un texte poétique.

Voici le fruit de ce travail collectif, réalisé pendant deux heures d’AP au CDI, en collaboration avec Florence Musart, professeur documentaliste, qui a récupéré les fichiers et assuré le montage du diaporama.
Michèle Delaporte, professeur de Lettres

A ouvrir avec Libre Office pour avoir le son.